Avec le soutien de l’Agence Régionale de Santé Pays-de-Loire, notre délégation de la Sarthe propose à Mamers le 26 novembre et au Mans le 27 novembre deux journées de formation. Elles seront utiles aux adultes encadrant des jeunes (santé, services sociaux, enseignement…) désireux de favoriser l’égalité filles-garçons et de repérer les situations à risques de violence.
Infos pratiques
Mamers,
Réseaux sociaux : nouer des liens sans risques
26 novembre 2015, 9h30 – 16h30
Salle du Cloître, Place de la République
Sur inscription avant le 23 novembre (bulletin ci-dessous)
Le Mans,
Filles, garçons, bâtir des relations égalitaires
27 novembre 2015, 9h30 – 16h30
Espace Gisèle Halimi, 30 avenue Félix Geneslay
Sur inscription avant le 23 novembre (bulletin ci-dessous)
Ces deux journées sont mises en place grâce au soutien financier de l’Agence Régionale de Santé Pays-de-Loire ; elles sont gratuites et limitées à 15 personnes.
La formation est assurée par la délégation de la Sarthe du Mouvement du Nid et mme Christine Laouénan, journaliste, écrivaine et spécialiste de l’adolescence et de l’égalité filles/garçons.
Intentions et programmes
– Réseaux sociaux : nouer des liens sans risques (Mamers, 26/11)
programme complet et inscription
Très utilisés par les jeunes générations, les réseaux sociaux permettent une communication immédiate entre les utilisateurs. L’enjeu de ce web social, c’est d’être vu et apprécié, d’avoir beaucoup d’amis.
Certains internautes profitent de cette confusion entre espace privé et espace public pour avoir recours à une intrusion persécutrice. Loin d’être un terrain virtuel, Internet peut mettre en danger l’utilisateur, d’autant que la responsabilité des auteurs n’est pas engagée.
Quels risques encourent les adolescents qui usent et abusent de ces outils interactifs ? En quoi favorisent-ils des risques prostitutionnels ?
– Filles, garçons, bâtir des relations égalitaires (Le Mans, 27/11)
programme complet et inscription
Bien que l’égalité entre les hommes et les femmes soit inscrite dans la loi, la réalité montre qu’il reste encore des progrès à faire. Malgré les apparences, l’éducation des filles et des garçons demeure encore inégalitaire. Les parents comme les éducateurs peuvent avoir des attentes différentes selon les sexes, ce qui favorise des stéréotypes sexués et des comportements sexistes.