Norvège : Pour la pénalisation des « clients » ?
La Norvège s’apprête à voter, sur le modèle suédois, une loi pénalisant
l’achat d'actes sexuels.
Bulgarie : machine arrière sur la légalisation
Le gouvernement bulgare, qui projetait de légaliser la prostitution à la demande du ministre du tourisme (!), a fait volte face début octobre 2007.
La condition prostituée
L’approche sociologique attentive à la pratique concrète de la prostitution que propose Lilian Mathieu est certes intéressante. Il n’en reste pas moins qu’il évacue les causes essentielles qui fondent la prostitution...
La pornographie mettant en scène des enfants s’invite au G8
Afin d'intensifier la lutte contre la pédopornographie, le G8[[Le G8 regroupe l'Allemagne, le Canada, les États-Unis, la France, l'Italie, le Japon et le Royaume-Uni.]] appelle le secteur privé — parents, médias, professionnels du Net — à redoubler d'efforts.
« Marché du sexe » : une violence omniprésente
Un rapport de recherche intitulé Marché du sexe et violences à Genève[ [Aspasie, (rubrique Rapports)]], dù aux sociologues Milena Chimienti et Agi Földhazi, mandatées par l'association Aspasie, dresse un état des lieux effrayant du quotidien des femmes dans la rue, salons de massage, bars à champagne et cabarets.
La prostitution en débat à ATTAC
Pour ATTAC,
les politiques de libéralisation de la prostitutionsont indissociable des
grandes manœuvres mondiales pour inscrire (…) la soumission au marché de tous les aspects de la vie humaine.
Les machos à Prague
Quand les médias font la promo du tourisme sexuel ... Bière et femmes à volonté. Le « sexotourisme » est à nos portes, en Europe. Certaines compagnies aériennes ont flairé la bonne affaire, relayées par les publicitaires et les marchands ...
Albanie : oui au tourisme culturel, non au tourisme sexuel
Sensibiliser les médias est une voie qui pourrait, ailleurs et pourquoi pas en France, utilement être imitée.
La prostitution, un combat pour les feministes allemandes
De l’Allemagne, on retient surtout la légalisation de la prostitution et du proxénétisme et les images du bordel berlinois Artémis, ce McDo dont la marchandise en rayon est le corps des femmes. Il est donc réconfortant de savoir que des féministes, outre-Rhin, continuent envers et contre tout de se mobiliser contre cet esclavagisme prétendument aseptisé.
« Travailleuses du sexe » ou « survivantes de la prostitution » ?
Quand entendrons-nous enfin la voix des personnes prostituées qui refusent la prostitution et ses violences ? Rien n’est plus difficile à l’heure où des lobbys s’évertuent à normaliser le
travail du sexeet à ouvrir les vannes aux fabuleux profits liés à la vente des corps des plus vulnérables, femmes en grande majorité, mais aussi adolescent-e-s et enfants. Face à ce puissant rouleau compresseur, naissent des initiatives qui méritent pourtant d’être soulignées.