Il aura fallu attendre les années 2000 pour que soit posée la question qui fâche : est-il légitime que des hommes s’estiment en droit, contre un billet, d’accéder au corps de personnes — en majorité des femmes — qui ne les désirent pas ? Qu’ils se permettent, par la même occasion, d’exercer leur mépris, quand ce ne sont pas des violences déclarées ?