La clause de l’Européenne la plus favorisée : Le meilleur de l’Europe pour les...
C'est l'exigence de l'avocate Gisèle Halimi et de son mouvement Choisir la cause des femmes. « Niveler », Choisir est pour, mais à condition de niveler par le haut! Notamment en optant, sur la question de la prostitution, pour une loi pénalisant les clients prostitueurs, à l'image de la Suède.
La prostitution en débat à ATTAC
Pour ATTAC,
les politiques de libéralisation de la prostitutionsont indissociable des
grandes manœuvres mondiales pour inscrire (…) la soumission au marché de tous les aspects de la vie humaine.
Albanie : oui au tourisme culturel, non au tourisme sexuel
Sensibiliser les médias est une voie qui pourrait, ailleurs et pourquoi pas en France, utilement être imitée.
« Travailleuses du sexe » ou « survivantes de la prostitution » ?
Quand entendrons-nous enfin la voix des personnes prostituées qui refusent la prostitution et ses violences ? Rien n’est plus difficile à l’heure où des lobbys s’évertuent à normaliser le
travail du sexeet à ouvrir les vannes aux fabuleux profits liés à la vente des corps des plus vulnérables, femmes en grande majorité, mais aussi adolescent-e-s et enfants. Face à ce puissant rouleau compresseur, naissent des initiatives qui méritent pourtant d’être soulignées.
Amnesty et la prostitution : frilosité ou démission ?
Les violences faites aux femmes demeurent l’un des plus grands scandales en matière de droits humains.Pour la première fois, Amnesty France dénonce les insuffisances des politiques mises en œuvre dans notre pays et toutes les bonnes raisons qui empêchent la société de voir les faits.
Hongrie : une campagne d’affichage qui fait mouche
À son tour, la Hongrie lance une campagne de prévention destinée aux "clients".
Emmaüs International : ensemble contre l’esclavage contemporain !
Fondée il y a plus de 50 ans par l’Abbé Pierre, prêtre, membre de la Résistance et ancien député français, le mouvement Emmaüs est bien connu de tous. Mais son engagement dans la lutte contre les trafics humains l’est peut-être moins. Fort de plus de 300 groupes membres, Emmaüs International s’est pourtant activement engagé dans cette lutte depuis le début des années 1990, dans la logique de son principe fondamental : "Servir premier le plus souffrant".