L’abolitionnisme contre l’ordre masculin
Pour son troisième lundi de Prostitution et Société, notre rédaction invitait Éliane Viennot et Frédéric Regard, pour parler de l’émergence des modèles contemporains de politiques publiques sur la prostitution. Une mise en perspective passionnante.
Féminicides : prostiTUÉES
Féminicides prostitutionnels : Nous publions dans le numéro 209 de notre revue un dossier exceptionnel sur les femmes tuées dans la prostitution.
Procès Valérie Bacot : un tournant historique ?
Analyse d'un procès hors-norme, qui a entraîné une vaste mobilisation pour Valérie Bacot, ressortie condamnée mais libre.
Prostitution des mineur·es : un même trauma quelle que soit la porte d’entrée
Des psychologues de l’université de Linkoping en Suède, ont cherché à décrypter les motifs de la prostitution chez les mineur·es.
Rapport FACT-S : constats et recommandations 5 ans après
Dans un rapport inédit publié en février 2021, FACT-S dresse des constats sur la mise en oeuvre de la loi et en appelle aux...
In memoriam : meurtres et agressions dans la prostitution
Depuis 2006, Prostitution et Société relate ici les meurtres et agressions dans la prostitution dont la presse se fait état.
« Assistance sexuelle » : voie sans issue
Le dossier du numéro 207 de Prostitution et Société est consacré au débat sur "l'assistance sexuelle". Une voie qui est toujours sans issue, comme le disent de plus en plus de personnes concernées.
Inceste, prostitution : sortir du déni
La déferlante #metooinceste a permis de mettre sur le devant de la scène l’ampleur des violences sexuelles au sein de la famille. Une parole qui n’est pas nouvelle, ce qui est nouveau, c’est qu’on l’écoute. Mais du chemin reste à faire.
Inceste : le syndrôme de la pionnière
Le début de 2021, grâce à « La familia grande » de Camille Kouchner, et le mouvement #metooinceste sur les réseaux sociaux, ont permis de rendre visible comme jamais le viol intrafamilial.
Onlyfans, un réseau social pas si cool
Déjà surnommé « l’instagram du porno », cet outil à la mode, présenté comme « cool », marque une étape supplémentaire dans l’ubérisation de l’exploitation sexuelle et l’aliénation de la personne.