Réhabilitons les plaisirs partagés et l’égalité femmes-hommes!
Le 5 janvier 2012, Le Monde.fr publiait une tribune du chanteur Antoine intitulée "Face à l'hypocrisie puritaine, réhabilitons les plaisirs du lit.". Le 13 janvier 2012 toujours dans Le Monde.fr, Claudine Legardinier lui répond:
Pendant ce temps, on assassine!
C’est un nombre record d’agressions – et même un meurtre – que la délégation de Paris du Mouvement du Nid a relevés en l’espace de quelques jours (fin 2014) à la Porte de Vincennes où elle se rend à la rencontre des personnes prostituées. Elle lance donc l’alarme alors que le Sénat semble tout faire pour enterrer la proposition de loi qui permettrait enfin la mise en place de mesures d’accompagnement et de parcours de sortie pour ces personnes en danger.
Nathalie Kosciusko-Morizet, députée
La prostitution est un des symptômes d’une société où la place des femmes est en régression, un signal d’alerte.
Roselyne Bachelot, députée [2001]
Le crime est du côté de celui qui instrumentalise le corps des femmes en le vendant et de celui qui l'achète pour son propre plaisir.
Nicole Borvo, parlementaire
Il faut sensibiliser les gens, se battre pour l'éducation et l'information face à tous les faux défenseurs de la « liberté ».
Geneviève Fraisse : « on est passé de la ‘propriété’ à la ‘possession’ du corps...
« Service sexuel » ? La notion de service et sa généalogie, de la domesticité au « care », passionne Geneviève Fraisse, philosophe féministe,...
Noémie Renard, auteure d’En finir avec la culture du viol
La prostitution fait partie de la culture du viol.
Rhéa Jean, philosophe
Être abolitionniste, c'est défendre la liberté sexuelle!
Ne laisser personne sous le seuil de pauvreté
La crise sanitaire a particulièrement touché les personnes prostituées. Notre modèle abolitionniste permet à l’inverse une véritable lutte contre les violences faites aux femmes et contre la logique impitoyable de la marchandisation. Editorial
31 mai : Marx était-il abolitonniste ?
"Marx et la prostitution : était-il abolitionniste" Rendez-vous le 31 mai à 18h pour répondre à la question avec Saliha Boussedra, docteure en philosophie