De l’attachement aux traditions
Dans la prostitution, deux mondes s'opposeraient : les "traditionnelles", françaises que leur ancienneté sur nos trottoirs a fondues dans le paysage, et les "victimes de la traite", ces nouvelles arrivantes des pays de l'Est ou d'Afrique forcément esclavagisées par les réseaux.
5 ans après la loi du 13 avril 2016, il est temps d’aller...
Editorial du n°208 de Prostitution et Société, par Claire Quidet, présidente du Mouvement du Nid.
Le 13 avril 2016, la loi visant à renforcer la...
« Pour une victime de prostitution, il faut deux ans pour retrouver une santé...
Morgane Collette a fondé VIvo, association d'accompagnement des victimes de violences
Ségolène Neuville, députée des Pyrénées-Orientales
Les bordels de la Jonquera ont des conséquences sur toutes les femmes.
Pornographie féministe, éthique, amateure ? Désintox
Dans notre dernier numéro, nous consacrons notre dossier à "la pornographie, de l'exploitation sexuelle filmée". Ici, nous nous sommes intéressé.e.s à la défense de l'exploitation sexuelle filmée, qui pourrait être acceptable si féministe, ou gratuite...Décryptage
Laurence Rossignol : le « travail du sexe » perpétue les stéréotypes à la racine du...
Laurence Rossignol, sénatrice et ancienne ministre des droits des femmes, est engagée depuis toujours aux côtés des abolitionnistes. Elle n’a jamais mâché ses mots....
Les mots qui tuent
Les mots qui tuent, vingt ans après le meurtre de Marie Trintignant. Réflexion
Éditorial : On se lève et on les écoute !
ÉDITORIAL du numéro 217 de Prostitution et Société, consacré à la parole des survivantes.
Lettre ouverte à mes prostitueurs
Cher acheteur de sexe... vous m’avez dit ce que vous aviez besoin d’entendre, pour préserver votre illusion, pour ne pas songer à la façon dont j’avais abouti là, à vingt ans.. Tanja Rahm, écrivaine, psychothérapeute et survivante de la prostitution, s'adresse d'une plume acerbe aux "clients" prostitueurs, les confronte à leur tartufferie.
Dodo la Saumure : « Les droits des femmes, je suis contre »
Cette phrase historique, c’est au fameux Dodo la Saumure qu’on la doit : de son vrai nom Dominique Alderweireld, proxénète notoire









